Des alternatives intéressantes à la médecine classique, à certaines conditions.
La grossesse s’accompagne souvent de maux (problèmes digestifs, hypersalivation, problèmes de circulation sanguine…) inconfortables voire désagréables. Ils sont généralement sans gravité mais les solutions thérapeutiques restent délicates à mettre en œuvre de par la présence du bébé. Les médecines douces peuvent alors être intéressantes et soulager le quotidien de la future maman sans mettre en jeu la santé du bébé…
L’homéopathie
Le principe de l’homéopathie est de soigner « le mal par le mal », « le semblable par le semblable ». On utilise une dose infinitésimale qui ne sera plus toxique puisqu’elle aura été diluée à l’extrême.
Contrairement à la médecine classique qui utilise des doses fortes, l’homéopathie agit mieux quand le médicament est fortement dilué : les remèdes classiques ont un mode d’action et une activité très spécifique contre les symptômes tandis que l’homéopathie aide l’organisme à se guérir lui-même.
Pendant la grossesse, certains médicaments classiques sont interdits aux femmes enceintes car ils sont néfastes au bébé. Ce n’est pas le cas de l’homéopathie qui n’est pas toxique et agit dans un grand nombre de situations.
On ne note pas d’effets secondaires ni pour la future maman ni pour le bébé. L’automédication est autorisée pour l’homéopathie du moment que les produits ne contiennent que des substances homéopathiques. Les médicaments homéopathiques les plus utilisés se présentent en tube de 80 granules à prendre en dehors des repas et à laisser fondre sous la langue.